Premières expériences et engrenages : Chapitre 99 : Attention aux fuites

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Ce récit est la suite de : Premières expériences et engrenages : Chapitre 98 : Deux corps, deux t o r t u r e s, un plaisir.
il y a 1 an

Chapitre 99 : Attention aux fuites

Il l’activa sur son clitoris. Cela durait quelques secondes mais, pour Lisa, cela semblait une éternité. Il l’arrêtait puis reprenait. Les temps d’électrisation duraient de plus en plus longtemps, les temps de pause, de plus en plus court. Le fonctionnement se coordonnait à ses cris.

La situation du haut de son corps paraissait presque un soulagement. Ses seins avaient été attachés séparément par une corde fine qui outre de lui mordre la peau, lui enserrait la poitrine et la suspendait à multiple anneau du plafond. La couleur de ses seins avait même changé, bleui, violacé plutôt, comme s’ils étaient gonflés de sang.

Wallace les frappait avec une cravache munie de pointe de métal arrondies et décrochée du mur. Des marques rouges indiquaient qu’il y avait peu de temps encore, des pinces à linges les recouvraient. Comme pour en valider la présence passée, l’une d’elles restait accrochée, désespérément, tenant bon face aux frappes ciblées du britannique cravaché.

Mais de toutes ces scènes, celle qui me restera le plus longtemps en mémoire fut le regard de Lisa, lancé à mon attention, comme si j’avais été le seul coupable de cette péripétie. Après tout, je l’avais mérité. Lassie n’avait point mes remords.

De mes lèvres, elle lui fit un baiser dans le vide et me mima en train de le souffler pour qu’il l’atteigne. Occupé et distrait je faillis manquer que le thé s’épuisait. Lydia, d’un signe salvateur et confidentiel, m’alerta.

  • Après le thé, je voudrais l’huile pimentée, réagis-je, alors que le bocal ne contenait plus que quelques centilitres que Lady Christine pompait de la poire.

On prépara un second bocal à côté du premier. Maîtresse Diane dit quelques mots aux valets. Ces derniers s’arrêtèrent de tourmenter la pauvre Lisa plus enragée contre moi qu’épuisée. A peine le thé avait-il été consommé, que Lydia et Christine modifièrent la connexion des tuyaux pour que l’huile suivit le thé, me pénétrant.

Au début c’était l’huile qui m’inconfortait plus que le piment. La consistance m’inclinait plus encore, que l’eau du thé, à me vider. Badigeonnant l’anus, graissant le conduit, l’huile rendait le tuyau plus récalcitrant à rester, comme si ce dernier estimait que cela dépassait ses limites. Le mélange impossible, huile et eau, me barbouillait l’intérieur comme des sortes de boules de Geisha liquide qui se jouait de moi, qui jouait avec moi.

Avant même que le piment ne trouvât sa place dans ce panachage de sensations et me brûlât les entrailles, je regrettais déjà mon choix.

L’huile prit du temps à s’écouler. Sa viscosité, l’étroitesse des tuyaux et la pression du litre de thé, tous résistaient à son introduction.

  • Je sens que je vais me vider, alertai-je, alors que le tuyau commençait à reculer.

  • C’est interdit, m’avisa Tata Marguerite comme un nouveau commandement. Tu ne voudrais pas être puni de quelques centaines de coups de fouet, me menaça-t-elle sans vraiment y croire.

  • Je ne peux pas m’en empêcher, dis-je alors que cela remuait à nouveau dans mon ventre.

  • Tu vas devoir tenir encore un peu, me dit Ladyscar, tandis que Lydia maintenait le tuyau en place et Lady Christine actionnait la pompe mécanique pour accélérer le remplissage.

L’huile poussa plus fort à l’intérieur, débloquant une nouvelle poche en moi et une envie de chier. Le bocal se vidait à vue d’œil sous la manipulation énergique de la pompe par Christine. Tata marguerite approcha avec un plug étrange que je n’eus pas le temps d’observer correctement. Il était beaucoup plus large et petit que le précédent et disposait d’une pièce externe ressemblant à un piston.

Il fallut moins de cinq minutes pour vider l’huile. Le piment commençait à agir. Plus léger l’huile se mouvait au-delà du thé et atteignit des zones qui avaient échappé à toute introduction et dont la sensibilité aux épices était décuplée. Ce qui n’était que démangeaisons se transformaient en irritations.

Lydia sortit le tuyau et Tata marguerite m’enfonça le plug en lieu et place avant que beaucoup de liquide ne s’en échappât. Il n’était pas assez profond pour que je le sente en moi, pas assez robuste à mon goût pour que je relâchai totalement mon fessier.

  • Il est un peu spécial me dit Ladyscar.

  • Comment cela ?

  • Tu verras ! répondit Maîtresse Diane. En attendant nous sommes en retard. Lydia ! Préparez-le ! Wallace, aide-la !

Les valets s’étaient rhabillés et deux d’entre eux avaient raccompagné Lisa. Wallace était resté. Il adorait ce que les dominatrices m’infligeaient.

  • Qu’allez-vous encore me faire ?

  • T’habiller. Mais avant, t’enfiler une couche pour adulte, histoire que rien ne sorte en public, me répondit Lydia tandis que Wallace me détachait.

  • Vous craignez que je ne me retienne pas ? J’ai le plug. N’est-ce pas suffisant ? demandai-je, alors que l’on me glissait une couche recouverte d’une alèse plastique.

Lydia me sourit, mais ne me répondit pas. Wallace me tendit alors un vêtement étrange. Il s’agissait de deux pièces de couleur assortie bleu-gris. J’avais cru à un pyjama de coton épais très doux avant que je ne remarquasse que les deux morceaux s’accrochaient ensemble par des boutons-pressions. Le haut avait l’air presque naturel dans sa forme avec ses manches longues et un col moulant le cou, malgré d’autres boutons au niveau des manches et du cou comme pour y fixer des gants et une capuche. Mais le bas était découpé : une pièce rapportée, rectangulaire, également fixée par bouton-pression, permettait d’en dégager la partie des fesses. Il était élargi et s’adaptait parfaitement au port de couche-culotte. De plus, s’il s’enfilait par le bas comme tous les pantalons, les ouvertures pour les jambes ne débouchaient pas pour les pieds. Ces derniers restaient coincés à l’intérieur, comme certaines combinaisons de plongée. Des sortes de pantoufles de forme charentaise mais de couleur uni d’un bleu vif les accompagnait

  • Qu’est-ce que c’est ? demandai-je tout en commençant à les enfiler.

  • Ce sont les habits que tu devras porter ce midi.

  • Dehors.

  • Oui. Vous êtes invité à manger chez des particuliers.

  • Si je suis habillé comme cela, ce sera moi qui serai singulièrement particulier, commentai-je, tout en continuant pourtant à les enfiler.

Wallace m’aida à mettre les pressions. Il resserra des cordelettes dans le dos du vêtement supérieur.

  • Attention à ne pas déchirer la couche, me dit Lydia, alors que je faisais de même devant un peu brutalement.

  • On voit que je porte une couche avec ça.

Je m’approchai d’un miroir, une fois les chaussons enfilés.

  • Je ne peux pas sortir comme cela ! dis-je une fois totalement habillé, si ce mot avait un sens.

  • La honte ne te tuera pas ! me dit Lydia.

  • Heureusement pour toi, ajouta Wallace. Ça y est, il est prêt. Allons voir si elles se sont changées.

Nous quittâmes le donjon. Marcher dans cette tenue était étrange. Globalement, on dirait un vêtement de bébé pour la nuit, la partie arrière servant probablement à me changer, ou à vérifier l’état de ma couche ou de mon plug. Pourtant, en marchant avec, les jambes arquées par le port de la couche large et extrêmement rigide à l’entre-jambe, la douceur du tissu comme une serviette de bain, cela me donnait des sensations étranges de caresses, presque intimes.

Nous arrivâmes au rez-de-chaussée, dans le salon pour découvrir, sans surprises, qu’elles n’étaient pas encore prêtes. Lisa était là. Elle avait remis sa tenue de bonne, mais il semblait qu’il n’y avait plus personne dedans. Elle avait les mêmes yeux que ceux que je devais avoir hier soir.

  • Je regrette de ne pas avoir demandé à y participer. Je trouve qu’ils ont été bien trop gentil avec toi, lançai-je exagérément de la part de Lassie, pour la faire réagir.

  • Tu n’aurais pas dû, me dit-elle simplement à voix basse, intimidante.

  • Tu comptes te venger ?

Elle me regarda, me détailla.

  • Qu’est-ce qu’ils ont introduit dans ton cul ?

  • Thé et huile pimentée, répondis-je honnêtement.

  • Elles vont le LUI amener ? demanda-t-elle alors à Lydia.

  • Oui, répondit-elle. Elles y vont pour déjeuner.

  • Alors j’ai déjà ma vengeance, dit-elle en quittant la pièce. Tu es mignon dans cette grenouillère. Profites-en bien et n’hésites pas à demander à rester.

Qu’était-ce cette histoire ? Qui était-IL ? En quoi cela pouvait-il être une vengeance ? Nous étions seules maintenant avec Lydia. J’en profitai.

Lire la suite : Premières expériences et engrenages : Chapitre 100 : La suite des confidences
Merci de ce retour.... vivement la suite
Désolé, même les "journaliers" partent en vacances.
ils en ont déjà termine avec Lisa , quel dommage
La suite dans https://fessestivites.com/recit/199375
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